Your story

Faith est sans doute la serpentard la moins serpy de tous. Elle est gentille et douce, Le chiffre trois, qu'elle beau chiffre...
Le un est bien, seulement ne se sentirait-on pas seul au monde sans amis autour de nous? Alors viens le chiffre deux. Mouais bon, c'est mieux me direz-vous, pas faux. Cela dit, deux pour jouer a cache-cache c'est un peu nul non?
C'est alors que vient le chiffre trois, un chiffre impair et pourtant si liée, du moins dans mon histoire... Quoi je fais une fixette sur ce chiffre? Non non, je ne suis pas fanatique de ce chiffre. Simplement, ce chiffre est le nombre d'enfants McAlistairl. Pas de chance pour moi... j'en fais partie mais je ne connaissais ni mon frère, ni ma sœur. Pourquoi? Car mes chers parents trouvèrent que trois enfants italiens était de trop, surtout qu'aucun de ces trois chérubins ne pourrait toucher l'héritage McAlistairl. Alors, pour une question de facilité, ils se séparèrent de moi...

Mais si nous commencions par le commencement? 2004, Italie...A Rome plus exactement, alors qu'une jeune femme, anglaise et enceinte, venait de rejoindre son mari, qui était dans ce pays pour affaire, et celle-ci sentit un liquide coulée. Elle perdait les eaux. Paniqué, son mari et elle partirent à l'hôpital immédiatement. La naissance allez avoir lieux. Des heures de travail s'en suivirent, finalement, trois enfants naquirent par césarienne. Trois petits bébés tous plus choux les uns que les autres. Faith fut la première des enfants à sortir. Mais malheureusement, elle fut la première à être séparée dès la naissance de son frère et sa sœur. Et oui, les McAlistair était une famille de sang pur, qui vivait encore dans les purs traditions. Les enfants étant né en dehors de la terre natale des générations de cette famille, aucun héritage ne leur serait accordé. Ce qui mit leur père dans une fureur. De plus, trois enfants, c’était trop pour lui. Il décida de garder son fils malgré tout et une seule des deux filles. Faith fut donc mit en adoption.En effet, les parents McAlistairl, une fois de retour en angleterre, la déposèrent dans un orphelinat sorcier, et sa mère lui laissa, comme cadeau, un collier avec l'emblème de la famille et une gourmette portant comme écriture: Faith. De la place était laissé sur le côté pour laisser s'inscrire plus tard, le nom de la famille adoptive.
Elle resta trois mois dans cet orphelinat, jusqu'à ce qu'un couple d'auror, incapable d'avoir un enfant, car la demoiselle était stérile, passèrent dans cette orphelinat. Ils voulaient tant un enfant, que le couple Miller avait décidé d'adopter. Alors qu'il passèrent près de la nurserie pour se joindre à la salle où des enfants de 2 à 3 ans les attendaient, la sorcière croisa le regard de Faith. Elle était très éveillée malgré ses trois mois, elle avait un regard et un sourire qui séduit immédiatement la future maman adoptive.

-Chéri, regard ce bébé…

Madame Miller était une jeune femme dotée d'une bonté et d'un cœur énorme, et Faith avait su toucher la femme qui en un regard avec l'enfant, avait succombé et avait senti quelques choses se passée entre elle. Après des heures et des heures de discussion avec son mari et la directrice de cet orphelinat, les papiers furent signés, le bébé emmenée dans sa nouvelle maison... voilà comment Faith McAlistair devint Faith Eléonore Miller...

Les années passèrent, Faith fut traiter comme une petite princesse par sa mère adoptive qui portait le doux de Cécilia, une jeune italienne. Si on se penchait sur ses parents adoptifs, on remarquait que la jeune Cécilia était une jeune femme aimante. Grande, brune et fine, on pouvait facilement croire que cette femme était la vraie mère de Faith. Son mari, Caleb, un anglais qui avait passé sa scolarité à poudlard, était un grand ténébreux, plutôt beau garçon. Il avait un regard mystérieux, comparé à sa femme, on pouvait clairement voir qu’il n’était pas son père. Malgré tout, il l’aimait pareil, voir plus.

Mais la jeune Miller eut du mal à s’entendre avec Caleb, allez savoir pourquoi, c’était toujours très électrique entre eux. Faith ne supportait pas les ordres et son père, lui, ne faisait que ça, lui en donner. Il faut dire que la petite ne tenait pas sa langue dans sa poche, déjà une vraie peste à cet âge-là. Les domestiques du manoir Miller se méfiait tous d’elle, et ils avaient tous bien raison. Quoi de mieux que de les faire tourné en bourrique ? Et bien rien du tout ! C’était le kiffe intégral pour la petite !
Pour en revenir à l’histoire, l’année de ses onze ans, elle fit, comme toutes personnes normales ou plutôt, comme tous sorciers normaux : elle intégra la prestigieuse école de Poudlard. Elle se souvenait encore de sa première lettre, l’excitation que cela lui avait procurée. Enfin, elle partait apprendre la magie. Oh, elle en avait déjà fait auparavant, mais c’était des accidents. Souvent dut a ses émotions, surtout la colère quand on osait la contrarier.
Ce fut cette année-là qu’elle retrouva ses jumeaux. Bien sûr, elle ne le savait pas, mais directement, le courant passa entre Alex, son frère, et elle. Un peu moins avec Isabella. Celle-ci était froide et malgré son âge, aussi rigide qu’une sorcière de quarante ans. Leur rencontre se passa dans le Poudlard express. Quand ils franchirent les portes de Poudlard à trois, une seule idée leur vint en tête : finir dans la même maison. C’était capital, il le fallait !
Comme tout le monde sait, le Choixpeau prend compte de votre préférence. La première à être appelée fut Miller. Elle s’assit sur le tabouret et attendit le verdict du Chapeau poisseux. Il ne fallut que quelques secondes pour que celui-ci donne son verdict : Serpentard ! Faith fut tellement contente d’intégrée cette maison, qu’elle s’y dirigea directement. Puis ce fut son frère, puis sa sœur. Les trois étaient donc enfin réunis. Pour le meilleur, et pour le pire !

Les sales coups s’enchainèrent avec lui, elle prenait grand plaisir a traumatisée les autres maisons ou à faire tourner en bourrique les professeurs. Que de belles années et de bons moments… ce fut avant que ses parents adoptive lui révélèrent la vérité suite à un caprice de Faithy. Elle était en plein milieu de sa troisième année, pendant les vacances de Noel. Alors qu’elle était rentrée pour passer les fêtes avec eux, ceux-ci, lui avouèrent donc qu’elle avait été adoptée. Evidemment, la brunette posa des tonnes de questions…Aucune réponse, juste ce collier qu’ils lui donnèrent avec l’emblème de la Famille McAlistair… Des jours de recherche s’en suivirent, elle décida d’en parler à son ami de toujours, qui était en faites son propres frères. Celui-ci parut choqué quand elle lui présenta le collier. La conversation qui s’enchaina la bouleversa… Après confirmation de la mère biologique des trois enfants, Faith dut se rendre à l’évidence : d’enfant unique, elle passa a sœur d’un frère et d’une sœur. Cela dit… ils auraient dut tous les trois remarqués ça, leur ressemblance physique était flagrante ! Et dire que quand les autres élèves leur demandèrent s’ils étaient frère et sœur, ils se moquaient d’eux sans retenue…

Un peu plus tard dans cette même année, une sortie a Pré-Au-Lard fut organisé. Alors qu’elle se promenait avec son frère, parlant de leur lien et de la coïncidence qu’ils étaient amis juste avant de l’apprendre, le père biologique de la jolie brune fit son entrer. Demandant discuté seul à seul avec sa « fille ». Heureuse, elle accepta et partit avec lui dans la cabane hurlante. Ce fut sa première grande erreur. Effectivement, son père ayant appris que les enfants de mangemorts se réunissaient, il lui ordonna d’en faire partit, comme son frère et sa sœur. Bien sûr, elle refusa. Il était hors de question pour elle de faire ça, alors que les gens qui l’avait adopté étaient des aurors et que malgré tout, elle les aimait réellement. Bien sûr, ce ne fut pas au gout de McCool. Il lui en fit voir de toute les couleurs, l’envoyant dans les murs, pratiquant le Doloris, allant même jusqu’à poser le sceau de la famille de sang pur dans la nuque de la demoiselle. Marquée au fer comme un vulgaire cheval. Après des heures, il partit. N’ayant pas obtenu ce qu’il voulait d’elle. Mais pour lui, ce n’était qu’une bataille perdu, pas la guerre, car à ce moment, il faisait pression surAlex'. Le seul capable de pouvoir tenter de la faire venir du côté « obscur »
Cet épisode marqua évidemment la jeune femme qui grandit, la tête haute toujours. Elle obtint à chaque examen de bon résultat. Pas le top du top, mais assez pour obtenir les mentions exigées à chaque cours. A présent, elle est dans sa septième année. La suite s’écrira au fur et à mesure.