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Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK

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MessageSujet: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeMer 19 Déc - 21:57

derek hayden harris

Je m'appelle Derek Hayden Angel Harris. J'ai montré le bout de mon nez le le 27 mai, il y a maintenant 17 ans. Étant un sorcier de sang mêlé (parents sorciers, père né-moldu), je possède une baguette magique qui fait 27 cm, en bois d'Acajou et avec un Oeil de Dragon à l'interieur. Je suis étudiant à Poudlard et malgré tout ce qu'on peut dire, je garde les pieds sur terre. D'ailleurs beaucoup de personne disent que je ressemble à Jared Leto. Oh avant que j'oublie ou que tu entendes des rumeurs à mon sujet je suis célibataire, bisexuel u.u et je l'assume pleinement !!!
Who I am
Une description ? A quoi ça sert une description ? Si vous voulez connaître Derek, parlez lui simplement, apprenez à le connaître ! Comment ça je chipote ? Non mais oh. Chut ! Ok, chut moi-même je pense. Je la ferme et je fais la description ? En voila une bonne idée tiens !

Derek Harris … Derek Hayden Angel. Noms qui lui vont bien d’ailleurs. Pour vous dire ça simplement, Derek est quelqu’un de foncièrement gentil. Il sera le dernier à vous faire un mauvais coups, à faire du mal à quelqu’un. Il tiens beaucoup de son père, étant calme, doux, attentif, et donc gentil. Toujours prêt à défendre la veuve et l’orphelin. Si on a besoin de lui, il sera là, toujours, que vous soyez son ennemi, son ami, son amant, sa maîtresse, son professeur, peu importe. Il juge sur ce qu’il voit, pas sur ce qu’on lui en dit. Il a pour philosophie de toujours laisser une chance aux gens. Toujours. Voir deux. Mais si vous le trahissez, là il aura bien plus de mal à pardonner. Il ne supporte pas la trahison, c’est l’un de ses défauts, si on peut dire. Et une fois qu’il ne vous aime plus, c’est fini. Vous ne seriez pas pour autant son ennemi, loin de là. Il n’en aura juste plus rien à faire de vous. Parce qu’au fond, il ne supporte pas qu’on le déteste. Il a besoin d’amis, d’être entouré, de se rassurer. Il fait tout pour qu’on l’aime, quitte à parfois être chiant ou collant. Mais c’est plus fort que lui. La haine, l’indifférence, la souffrance, il en a déjà eu plus qu’à son tour et il n’en a plus besoin. Alors il l’évite un maximum. Et si quelqu’un souffre, il fera de son mieux pour aider, kit à se faire tuer après.

C’est un têtu, on ne le dira jamais assez. Quand il a une idée en tête, rien ni personne ne l’en fera changer et il refuse strictement de baisser les bras. Il se battra toujours pour ses idées et n’abandonnera jamais ou presque. Changer d’objectif, oui, mais jamais abandonner. Avec son passé, il n’en a acquis que plus de détermination. C’est en avançant qu’on vit et en vivant qu’on avance. Il aime les risques, les défis, les relevant toujours. C’est un autre de ses défauts. Mais vu qu’il est plus résistant, en général ça va. C’est un joueur, aussi. Il aime jouer, que ce soit en sport, ou en drague. Il s’est spécialisé dans cet art et ça l’amuse plus qu’autre chose. Il cherche l’amour, bien sur, mais en attendant qu’il arrive, autant profiter de la vie ! Ainsi, il n’est pas rare de le trouver dans le lit de personnes bien différentes tombées sous son charme. Un acte aussi bas venant d’un gars si gentil … Mais il le fait toujours en douceur. Il ne mens jamais et préconise la douceur et la tendresse à la douleur.

Ce qu’il veut, il l’obtiens. Autre chose à savoir. Euh .. Sinon … Vous lui ferez faire presque tout ce que vous voulez avec du chocolat. Chaud, en barre, fondu, en cookie, peu importe. Il en mange jour et nuit et est complètement accro à ce nectar divin *-*. Et je ne sais plus quoi dire d’autre donc on passe à la colonne à coté !
More about me
Bon physique maintenant … Ce qui, entre parenthèses, est encore plus inutile que la colonne précédentes. Vous avez qu’à regarder enfin ! Mais bon soit, décrivons, décrivons. Déjà, Derek, est un canon, selon les trois quarts des gens. Il y a sûrement plus beaux, mais après tout c’est une question de goûts. Il n’est pas aussi grand qu’un basketteur, mais n’est certainement pas petit. Taille moyenne et respectable, disons. Pareil niveau musculature. Il adore le sport et s’entretient, mais pas au point d’être gonflé comme un haltérophile. Et très peu pour lui, soit dit en passant. Il s’aime plutôt tel qu’il est et tant mieux. Sa façon de marcher, d’avancer, est plus souple et sauvage, comme un prédateur. Le loup qu’il est, en soi. Il n’aime pas trop ce côté en lui mais fait avec. Et ça lui donne un air sombre qui repousse les gens. D’un coté, c’est pas plus mal. Autant rester loin de lui au cas où il devient dangereux.

Ses yeux sont bleus, virant de foncé à clair selon ses humeurs et le temps qu’il fait. Plus il s’énervent, plus ils foncissent. Mais ils n’en sont pas moins beaux, envoûtant, parfaits … Euh oui, je m’emballe. Mais ses yeux sont son atout majeur, en quelque sorte. Il en est fier et s’en sert pour draguer, sachant les rendre doux et charmeurs ou brûlant et avides. En général cependant, ils ont toujours cet aspect calme et apaisant qui sied aux Harris.

Sinon … Il a le corps couvert de cicatrices. Griffes, morsures, etc. Résultats des nuits de pleines lunes un peu trop agressives. Traces qu’il se fait lui-même en général. La plus grande étant bien sur celle qui court sur son avant bras, dernière trace de cette fameuse nuit. Et pour finir, ses cheveux. Un cas en soi. Ils changent de couleurs et de tailles irrégulièrement. La théorie de sa mère est que ça vient de sa grand-mère, métamorphomage. Il n’a aucun contrôle dessus et fait avec la tête qu’il a au matin. Blond, noir, brun, il n’a cependant jamais été roux et en est quelque part bien content, sur que ça ne lui irait pas du tout.
PSEUDO :Shad. PRÉNOM : Amaryllis. ÂGE, PAYS : 16 ans, Belge Cool VOTRE AVIS SUR WIZ : Je le trouve vraiment bien ! Pour ça que je viens d'ailleurs ! Very Happy OÙ L'AVEZ-VOUS CONNU : J'ai suivi ma Faithynounette Charlie CODE RÈGLEMENT : Validé par Queen C. ^^ CRÉDIT : Tumblr UN DERNIER MOT? : VIVE LE CHOCOLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAT !

©️Maat


Dernière édition par Derek H. Harris le Dim 23 Déc - 17:55, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeMer 19 Déc - 21:57

your story ... and the mine


----- Chapitre 1 : Tout commence par un rire. ------


Lindsay était folle. Tarée. Il lui manquait une case, elle avait une araignée au plafond. Elle éclatait de rire sans raison, faisait des choses étranges. Elle vous fixait de ses yeux émeraudes, flamboyant d’un feu de folie, envoûtant et dévastateur. Elle était rongée de l’interieur. Le matin, elle ne se réveillait pas. Elle ne dormait pas. Elle restait à fixer un point au plafond jusqu’à s’évanouir, son corps ayant désespérément besoin de repos. Ses journées passaient comme dans un mirage, où elle ne voyait rien, ne ressentait rien. Tout lui était indifférent et elle s’en fichait comme de sa première culotte. A quoi servait sa vie ? D’un coup, elle se levait, hurlait, gémissait, riait, tombait au sol et roulait comme une possédée pour échapper à un mal qu’elle seul ressentait et comprenait. Puis ses membres retombaient et elle restait là, allongée sur le plancher frais de sa chambre, fixant une araignée qui se promenait entre les fissures du mur, tissant sa toile en paix. Qui la chasserait de là ? Lindsay ? Certainement pas. Cette araignée était la dernière personne qui lui tenait compagnie dans sa cage de folie.

Enfin, il y avait sa sœur aussi. Mallory aimait sa grande sœur, plus que tout. Et la voir dans cet état la rendait dingue, elle aussi. Pas au stade de la folie, mais plus dans la façon de parler. Elle continuait de se battre pour Lindsay, de lui donner les différents médicaments qu’on lui prescrivait, d’essayer de la nourrir, de la bercer, de la calmer. Souvent, elle n’y arrivait pas. Parfois, elle réussissait par un miracle subit et bref. Mais elle continuait d’essayer, encore et toujours. Elle appelait des médecins, des psychologue, de la famille. Mais personne n’arrivait à sortir Lindsay de sa torpeur. Et Mallory arriva à sa limite du supportable. Elle craqua elle aussi, engueulant sa sœur qui la fixa de son regard fou. Et la fixa encore. Elle la fixait encore alors que sa sœur s’était enfin tue. Et puis elle éclata de rire, un rire de dément, de folle furieuse. C’est ainsi que Mallo’ finit par suivre les conseils de sa famille et emmena sa grande sœur dans l’hôpital sorcier le plus proche. Dans une famille de sang pur, on a tendance a détesté ceux qui n’arrive pas à monter le sang encore plus haut. Lindsay se faisait jeté de partout et Mallory subissait le même sort. Ne pouvant rien faire de plus, elle l’entraîna et la fit interner.

Les premiers médecins qui vinrent la voir baissèrent vite les bras. Aucun traitement ne fonctionnait sur cette patiente, particulièrement retorse. Elle avait sombré trop profondément dans la folie et rien ni personne n’arrivait à l’en faire sortir. Plusieurs finirent par proposé l’euthanasie. Mieux valait la mort qu’une vie pareille. Mais sa petite sœur s’y refusait. Comment pourrait-elle tuer la seule personne qui l’avait jamais aidée ? En désespoir de cause, elle y mit tout son argent, tout se qu’elle avait pour faire venir le meilleur médecin d’Amérique. Il se refusa à venir, ayant d’autres patients à voir, mais envoya l’un de ses collègues. Plutôt doué dans ce qu’il faisait, mais manquant trop de confiance en lui pour se permettre d’atteindre tout ses rêves, Archer Harris fit son entrée à l’hôpital de New-York. Il rencontra Mallory, avec qui il sympathisa d’un regard. Un regard d’un bleu clair, magique, qui apaisa le cœur de la blonde. Si jamais quelqu’un pouvait sauver sa sœur, ce devait être cet homme. Un pressentiment, une certitude, qui lui apaisa le cœur brièvement. Mais Archer n’était pas encore sûr de s’occuper de Lindsay. Il devait d’abord la rencontrer.

C’était un mercredi. Et il pleuvait. La ville de New-York était plongé dans un léger brouillard, la pluie tombant drue sur le visage de ses habitants. Au chaud dans les couloirs de l’hôpital, Archer se dirigea vers la porte de Lindsay. Partie psychiatrie, porte 213. Une porte grise, tout ce qu’il y a de plus banale, avec une vitre dans le haut. Il abaissa la poignée et entra, sur ses gardes. Il avait eut affaire à des clients retorses et n’en était devenu que plus méfiant encore. Une fois la porte refermée dans un léger « clic » contrôlé, il passa son regard sur la pièce. Les lumières étaient tamisées, le mobilier réduit à un lit et une petite armoire. Pas une fenêtre, pas une image, rien du tout. Rien de personnel, rien de .. Vivant. Si ce n’est la jeune femme. Non pas allongée dans son lit, belle princesse au bois dormant, mais prostrée dans un coin. Les jambes ramenées contre sa poitrine, fermement entourées de ses bras maigres, osseux. Ses longs cheveux noirs tombaient autour d’elles, emmêlés et irréguliers. Mais elle refusait qu’on les coupe. Dés que quelqu’un s’approchait avec des ciseaux, elle hurlait, se débattait sauvagement pour y échapper. Il fit un pas vers elle et sa tête se dressa subitement. Ses yeux émeraudes se plantèrent dans les siens. Émeraude contre saphir. Folie contre calme. Feu contre glace.

Un sourire doux apparut sur les lèvres du jeune homme et il s’accroupit, s’approchant lentement. Elle le fixa en silence, attentive. Un animal apeuré. Et en même temps, il ne sentait aucune peur venant d’elle. Juste de la curiosité. Voir juste de l’indifférence. Il ne saurait dire, sur l’instant. Il fit un pas de trop, et elle se tendit. Alors il s’arrêta, fit un pas en arrière et s’assied. Il la fixa à son tour, sans bouger. Et ils se fixèrent, s’affrontèrent encore. Elle ne lâcha pas, sans bouger, indifférente dans le fond. Elle pencha la tête sur le coté, son visage de cadavre suivant ses mouvements. Un serpent devant une souris. Une souris qui se battit longtemps pour continuer de fixer le prédateur. Mais il finit par baisser les yeux. Archer s’avoua momentanément vaincu. Il se releva et s’en alla, comme le veut la loi de la jungle. Et elle éclata de rire. Ce même rire de folle, de démente, complètement hystérique. Il ne se retourna pas pour la regarder. Il écouta juste ce rire qui le poursuivit alors qu’il retournait dans le couloir. Il croisa Mallory et n’eut pas besoin de réfléchir. Ses yeux bleus, à présent légèrement tourmenté, était déterminés. Il acquiesça avec sa douceur habituelle « Je m’en occupe. ».

Ainsi débuta le traitement spéciale de Lindsay Callaway. Archer essayait absolument tout ce qu’il connaissait. Toujours avec cette douceur, cette attention, qui le caractérisait. Il étudia Lindsay, fit de légers test, l’observa encore et encore, pour voir ses réactions. Il les notait, y réfléchissait longuement, analysait tout. Il réussit à la calmer, un petit peu, à capter son attention. Dans de rares moments, elle le regardait vraiment. Elle n’était plus indifférente, pendant un court laps de temps. Il n’en demandait pas plus. Il avait juste besoin de ça pour se motiver, continuer de se donner à fond pour elle. Elle devint sa seule patiente, sa seule préoccupation. Mais par choix plus que par obligation. Jamais il ne se sentit obligé de l’aider, pousser à quoique ce soit. Il voulait l’aider. Parce que lui aussi sentait qu’il serait le seul à pouvoir le faire.

Quelques semaines après, il réussit à obtenir son changement de chambre. Elle fut monter ailleurs et eut droit à une fenêtre. Il sourit, fier d’avoir réussi. Car maintenant, elle ne restait plus prostrée dans son coin. Elle était debout devant la fenêtre et observait l’extérieur. Il ne s’y passait pas grand-chose mais elle semblait apprécié. Il le nota soigneusement dans son carnet. Elle se laissa approcher aussi. Il put se tenir à ses côtés sans qu’elle ne se tende où n’ai peur. Et il continua, encore et encore. Trouvant les aliments qu’elle acceptait de manger, en petite quantité toutefois. Mais ça venait. Il la fit sortir, l’emmenait se promener. Dur au début, elle finit par s’y habituer, le suivant en regardant autour, toujours silencieuse. Mais elle était là et elle reprenait des couleurs. Il la convainquit petit à petit de venir avec lui voir la foret, les autres patients, les enfants. Ça peut paraître rapide comme ça, mais ce fut long, très long. Il lui fallait parfois des mois pour réussir à lui faire faire quelque chose.

Mais lentement, elle guérit. Elle reçut sa sœur, souvent. Archer, toujours présent, veillait sur elle, la défendait et la protégeait. Il l’appréciait. L’aimait sûrement. Mais son premier but était sa guérison complète. Alors il s’y attela avec encore plus d’acharnement, jusqu’à ce que finalement, elle rit à nouveau. Un rire léger et clair qui n’avait plus résonné depuis bien longtemps. Archer sourit en l’entendant et acquiesça simplement. Elle était guérie. Elle dut passé encore un moment à l’hôpital, retrouvant l’usage de la parole, renouant avec sa sœur. Mais elle allait beaucoup mieux. Au fond de son cœur, elle se sentait toujours faible mais prête à se battre pour retrouver une vie. Elle le devait à Archer, au docteur Harris, elle le savait et le remerciait silencieusement pour ça.

Puis vint le jour où elle quitta l’hôpital. Archer était là, l’aidant à mettre son manteau. Elle le regarda ensuite, levant les yeux dans les siens. Il la dépassait d’une tête. Cela la fit sourire, ne s’en étant jamais vraiment aperçu à ce point la. Sans qu’elle y réfléchisse, elle vint se blottir au creux de ses bras. Dans un réflexe naturel, il referma ses bras autour d’elle et l’étreignit avec douceur. Calme et doux. Tel était, avait toujours été, et resterait, Archer Harris. Mallory appela sa sœur et Lindsay se recula lentement. Ses yeux la piquaient, les larmes menaçant de monter. Il la regarda à son tour et sourit. Un beau sourire, plein de douceur, d’amour aussi. Il sourit et elle se sentit plus forte, prête à affronter le monde entier.

Elle disparut derrière la porte et Archer perdit momentanément son sourire. Mais elle était guérie. Il avait réussit, après tant de temps. Mais il n’avait pas besoin de repos. Il se remit au travail dés qu’il le put, enchaînant les patients, les soignant avec attention, souriant toujours. Elle lui manquait, sa folle à lui. Mais il pensait qu’elle était heureuse et cela lui suffisait. Du moins en partie. Il s’en contentait, disons.

Mais quand il arriva le matin et qu’il l’aperçut, assise sur l’une des chaises rouges et inconfortable de la salle d’attente, qu’elle lui sourit et sauta dans ses bras, il n’hésita pas une seconde, la serrant fort contre lui, échappant un soupire de satisfaction en retrouvant son odeur, son corps contre le sien, son souffle chaud au creux de son cou. Ils restèrent longtemps ainsi. Juste enlacés, leurs cœurs à l’unisson et leurs esprits entrelacés. Pas besoin de mots quand tout est dit. Pas besoin de baiser quand on est en communion si parfaite qu’un autre contact est superflu. Ils s’aimaient. Et se le dire encore bon nombre de fois après ça.

------ Chapitre 2 : Derek fait son entrée en scène. ------


Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Enfin, deux enfants. Mais je n’arrêterai pas l’histoire ici, car les héros ne sont pas Archer et Lindsay. L’histoire est belle alors je la raconte, et elle compte beaucoup pour notre petit héros. Petit héros qui naquit 2 ans après cette histoire, il y a donc 17 ans. Ce fut une autre aventure pour convaincre Lindsay de garder l’enfant, persuadée qu’elle était d’être une mauvaise mère. Mais il réussit, plus rien ne lui étant impossible après tout ça. Neuf long mois passèrent et elle accoucha finalement, sans anicroches bien que longuement. Il fallut des heures et des heures mais finalement le petit garçon montra le bout de son nez, dans un grand hurlement. Un autre lui répondit, mais de joie, sa mère heureuse d’être libérée et mère justement.

Des yeux noirs et un quelques cheveux sur le crâne, voilà comment est apparut Derek pour la première fois. Derek Hayden Angel Harris Callaway. Un nom qui claque quand même non ? Deux jours après, il était tranquillement entrain de dormir dans son lit, chez lui, ses parents dans les bras l’un de l’autre. A défaut d’être un bébé calme, il était au moins régulier et laissait à ses parents des moments de paix et de repos. Ce qui était plutôt agréables pour eux. Et deux ans passèrent. Il s’avéra vite que le petit garçon avait hérités des yeux bleus de son père, le noir disparaissant vite. Ses cheveux étaient noirs mais viraient aux bruns ou au blond. Pourquoi ? Un ancêtre métamorphomage peut-être. Après deux ans, Archer et Lindsay apprirent la grande nouvelle à Derek ; il allait avoir une petite sœur. Évidemment, du haut de ses deux ans, il ne comprenait pas du tout ce que c’était. Ça se mangeait ça ? Ou alors on pouvait jouer avec ? Aucune idée. Mais il patienta, menant sa vie de petit garçon en observant sa maman gonfler et son papa devenir super protecteur envers elle. Il ne pouvait même plus sauter dans ses bras ! Ce qui Ça beaucoup de bouderies, et aussi beaucoup de rires.
Puis « la petite soeur » arriva. Il découvrit ainsi un petit truc rose tout bizarre. Ça lui ressemblait un peu, mais ça avait pas de kiki ! Son père lui fournit juste une explication basique et mystérieuse « C’est parce que c’est une fille. ». Ça ne l’aidait pas beaucoup. Il apprit cependant à aimer cette chose appelé « petite soeur », « ma fille », « ma crevette » ou « Malicia ». Étrange tout cela. Et elle était toute petite, toute fragile. Alors il la protégeait. Même si elle l’énervait, cassait ses jouets, pleurait tout le temps, il continuait de la protéger. Il adorait l’entendre rire de son petit rire de bébé, ses sourires sans dents, ses grands yeux verts et sa fine toison brune. Il l’aimait. C’était un fait avéré voila. La deuxième femme de sa vie, la première étant sa maman naturellement, et non pas la non moins jolie voisine qui lui apportait toujours des bonbons.

Ensuite, ils grandirent encore. Ayant eu les enfants qu’ils voulaient, Lindsay et Archer ne cherchèrent pas en avoir d’autre, heureux ainsi. Derek et Malicia étaient liés et s’entendaient bien, ainsi les disputes ne duraient jamais longtemps. Et Derek ayant hérité du caractère doux et calme de son père, il lui était bien difficile de s’engueuler avec sa petite sœur. L’événement suivant et marquant dans la famille fut l’anniversaire des 7 ans de Derek. Ses parents avaient organisés une fête avec tout ses amis de l’école et la famille. Au moment de couper le gâteau, l’un des cousins Harris fit exploser un ballon sans faire exprès. Le bruit fit sursauter tout le monde et rire Derek, qui voulut aussi faire péter les ballons. Et il le fit. Sans se lever une seconde. Pourtant les ballons explosèrent les uns après les autres dans un joyeux orchestre.

Ses parents avaient compris et en étaient plus qu’heureux. C’est la crainte de chaque famille sorcière que de voir l’un des enfants être cracmol. Mais Derek était sorcier. Et dans l’année des 8 ans de Malicia, elle fit exploser une fenêtre, se coupant au passage. Il suffit cependant d’un sourire de son grand frère et d’un bisou magique de sa maman pour la calmer. Et ainsi, Derek fit son entrée à l’école sorcière de Salem à ses 11 ans. Deux ans plus tard, sa sœur le rejoint sans hésiter. Le garçon se révéla studieux et travailleur. Il n’aimait pas particulièrement les études mais aimait l’école, apprendre des tas de choses, rencontrer des gens. Il était heureux ainsi. Et il continuait de protéger sa sœur, attention ! Qui touche à un cheveux de Malicia Harris se prendra bien pire qu’un gifle. Derek n’est jamais loin et pour sa sœur, il serait prêt à tout. On a appris à s’en méfier, à Salem.

------ Chapitre 3 : Quand tout bascule. ------

L’été des 15 ans de Derek restera toujours gravé dans sa mémoire. Il venait de terminer sa cinquième année donc, et était rentré avec sa sœur chez ses parents, à New-York. Tout le mois de juillet se déroula sans problèmes, la famille se retrouvant et passant de bons moments, s’entendant toujours aussi bien. Bien sur, les deux ados faisaient leurs crises respectives mais comment s’énerver sur des parents comme ça, sérieusement ? Ainsi, tout allait bien au pays des bisounours en barbe-à-papa roses.

Puis vint le début août. Une des aditions de la famille était que chaque début de semaine, ils choisissaient le premier endroit qui leur traversait l’esprit et ils y allaient. Juste pour s’amuser, passer le temps et être ensemble. Ce jour là, il décidèrent d’aller au supermarché. Il y avait pénurie de chocolat et de biscuit. Ce qui était inacceptable, tout la famille étant accro à ce met délicieux qu’est le choco. Ils passaient dans les rayons joyeusement, débattant de cookies. Mali et Derek affirmant que c’était meilleur que le simple chocolat, à l’inverse de leurs parents. Derek rit juste au moment ou un homme bouscula Archer. Grand, les cheveux ébouriffés, mal rasé, il avança sans même se retourner, indifférent. Comme si il ne l’avait même pas senti. Fronçant les sourcils, les deux hommes Harris le suivirent du regard. Ce fut Derek qui le vit en premier, mais Archer le repéra juste après. L’homme était armé, un pistolet soigneusement aligné au bout de son bras. Sans même réfléchir, Derek poussa Malicia et sa mère dans un rayon et suivit son père qui s’avançait l’air de rien. Pourquoi personne d’autre ne réagissaient ? C’était étrange. Ils suivirent l’homme qui alla droit à la caisse, pointa son arme sur le front de la caissière et demanda la caisse. C’était d’un banal. Mais sur le coup, personne ne pensa à le relever. Avec un juron, Archer lança un sort de brouillard pour échapper à la vue des moldus et un autre pour neutraliser l’homme. Mais la fine lumière bleue ricocha sur l’homme qui se retourna, ses yeux dorés fixant soudain les deux Harris. Un loup-garou. Derek se tendit et son père également. Aucune parole ne fut prononcée mais il suffit d’un échange de regards pour le savoir. Il se vengerait. Ne pouvant plus rien faire, le loup partit à toute allure, cachant son arme sous sa veste élimée.

Les semaines qui suivirent, ils redoublèrent d’attention. Ils ne sortaient jamais seuls, surveillaient toujours leurs arrières. Un loup avait une mémoire olfactive. Chercher à fuir aurait été stupide, et aucun ne proposa même l’idée. Il les aurait retrouvés. Ainsi, ils veillèrent. Mais rien ne vint. Aucun monstre n’apparut, aucune attaque n’arriva, aucun loup à l’horizon. Et ce qui devait arriver, arriva ; ils relâchèrent leur attention. Il ne leur restait qu’une semaine avant la reprise des cours et ils voulaient en profiter. Et vu qu’il ne s’était rien passé, pourquoi continuer de s’inquiéter ?

Il n’en fallut pas plus. A peine le soleil couché sur la Grosse Pomme, que la famille Harris sortit sur la terrasse. Ils regardaient la pleine lune, souriant, rassuré maintenant qu’il ne leur arrivait rien. C’était idiot et stupide, mais sur le coup, aucun n’avait tiqué. Et quand ils entendirent les grondement sauvages et le bruit de course, il était déjà trop tard. Le loup-garou fonça, attiré par l’odeur de chair fraîche et la vengeance de son coté humain. Il bondit rapidement. Lindsay hurla de peur et lança un sort qui, bien qu’il ricocha, eut le mérite de faire perdre l’équilibre au loup qui tomba au sol dans un grondement mécontent. Il se releva et courut, visant la proie la plus faible, celle qui était restée immobile, pétrifiée. Malicia. Elle fixait l’animal, tremblante, choquée. Derek cria pour la faire bouger mais elle n’y arrivait pas. Alors il courut, la poussant de toute ses forces sur son père. Archer la rattrapa mais était de ce fait immobiliser. Le loup percuta Derek de plein fouet, les envoyant rouler tout les deux. Se débattant comme un diable pour échapper aux crocs du lycanthrope, il récolta nombres de griffures.

Mais finalement, les crocs s’enfoncèrent profondément dans son bras. Il hurla de douleur et voulu le repousser mais le loup s’acharna, déchirant la peau et la chair. Un éclat brillant et douloureux traversa tout le corps et la vision du jeune homme avant qu’il ne s’évanouisse, les cris de ses parents résonnant dans ses oreilles.

----- Chapitre 4 : une nouvelle vie. -----

Lorsque ses yeux s’ouvrirent à nouveau, ce fut pour découvrir sa famille penchée au dessus de lui, inquiète. Il était apparemment dans le canapé, allongé. Il se releva difficilement et gémit de douleur en sentant un éclair perçant dans son bras. Il baissa les yeux, découvrant le bandage qui lui recouvrait tout l’avant bras. Son père avait réussi à le soigner. Mais en plongeant les yeux dans les siens, il su. Le venin, il n’avait pas réussi à l’arrêter. Derek se laissa retomber en arrière, poussant un gémissement, entre désespoir et douleur. Non. Non. Non. NON !

~

Il dut quand même retourné à l’école. Subir sa première transformation. Puis celles qui suivirent après. L’établissement conservaient le secret et l’aidait du mieux possible mais il n’était jamais bien pour autant. Il se forçait à continuer à sourire, à faire comme si tout allait bien devant les autre. C’était ça le plus important. Toute sa famille l’avait accepté, faisant avec. Derek se sentait mal vis-à-vis de ça mais faisait avec. Bref, personne n’en était heureux mais ils vivaient avec comme si c’était une chose normale.

Jusqu’à ce qu’il y ait une fuite. Même aujourd’hui, personne ne sait d’où elle vint. Mais son secret fût révélé. Et la vie devint un enfer. Tous avaient l’esprit bien trop étroit pour y réfléchir. Ses amis se retournèrent contre lui, ses voisins lançaient des objets en tout genre sur leur maison. A l’école, tout le monde lui faisait vivre un enfer, le traitant comme un parasite, oubliant ces 5 ans précédents où ils l’appréciaient tous. Sa sœur fut persécutées aussi, et ses parents. Lindsay se faisait harcelés, recevait des lettres de haines. Tant de personnes avaient été déchirées par des loups-garous, tant de familles brisées. Ils avaient besoin d’un coupable et jugeaient les loups en général. Derek était une tête de turc. Archer finit par être viré de son boulot. On le jeta de l’hôpital. Ils lui remirent quand même une lettre de recommandation, car il avait été un brillant médecin.

Craignant pour Lindsay, même 18 ans après, il décida de déménager. Si elle retombait, il ne se le pardonnerait jamais. Il envoya son CV dans plusieurs hôpitaux sorciers réputés. Et le seul qui l’accepta fut Sainte Mangouste. L’hôpital de Londres. Il en parla à sa famille et Lindsay accepta sans rechigner. Malicia aussi. Derek suivit, se sentant mal. Pour ce qu’on lui faisait vivre, mais aussi car un sentiment de culpabilité lui pesait sur les épaules. Bien que les Harris ne lui en voulaient pas du tout, il se convainquit tout seul qu’il était le seul coupable de tout ça. Que si il n’avait pas été là, ils seraient tout les trois encore heureux.

Ainsi les Harris débarquèrent à Londres. Malicia et Derek furent tout les deux inscrits à Poudlard, une fois la situation expliquée à la directrice. Archer pris son poste et se fit vite une place. Lindsay trouva un nouveau travail à son tour. Et dans l’intimité du bureau directorial, le choixpeau rendit son verdict. Malicia fut envoyée à gryffondor. Et Derek … Et bien Derek.

Ta maison sera Poufsouffle.

©Maat


Dernière édition par Derek H. Harris le Dim 23 Déc - 16:01, édité 4 fois
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✲ YOUR LOVE IS DEADLY

Roksana T. Leskova
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Roksana T. Leskova

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ㄨ Date d'inscription : 11/08/2011


Histoire
Age du personnage: 17ans
Liens:

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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeMer 19 Déc - 22:59

JARED *.* Love

Bienvenue parmis nous !!! Si t'as une question n'hésite pas a me Mpotter j'adore être harcelé par les petit nouveau ^^ Coeur

J'ai hâte de voir comment va être ton personnage Yeux
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeMer 19 Déc - 23:04

    Je te prendrai au mot Cool

    Tout pour Nina *-* Merci beaucoup !
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Charlotte M. Berrywell
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Charlotte M. Berrywell

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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeJeu 20 Déc - 19:26

Welcome here ! Gnii

Tu peux harceler Kee, mais moi aussi Cool (a)

Bon courage pour ta fiche ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeJeu 20 Déc - 21:57

    J'aime qu'on m'encourage à harceler *-* *out*

    Merci ma belle Very Happy
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I work like a Badger !

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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeVen 21 Déc - 8:27

Bienvenuuuuue Charlie ! Ton avatar Love ...
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeVen 21 Déc - 17:16

Bienvenue. I love you
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Mieux qu'une vélane

Tahanie S. Weatherly
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeSam 22 Déc - 14:41

Bienvenue Hola
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeSam 22 Déc - 15:33

Bienvenue !! Bee et je suis d'accord, VIVE LE CHOCOLAT Panda Bon courage pour ta fiche, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à m'envoyer un mp Smile !
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeDim 23 Déc - 16:36

    Merci à vous tous ! Very Happy

    Et j'ai fini ma présentation normalement ! *-* ^^
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeDim 23 Déc - 16:40

Frangins *-*
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeDim 23 Déc - 16:47

    Frangine *-*
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeDim 23 Déc - 18:27

Nickel pour moi poulet, fais coucou au Choixpeau ! XD Very Happy
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeDim 23 Déc - 18:29

    ¨sourit et fait coucou au Choixpeau Pervers *-* *
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Choixpeau Magique
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeDim 23 Déc - 18:31

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Bienvenue !

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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitimeDim 23 Déc - 18:40

J'adore ton histoire premier Loup garou du forum Very Happy
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MessageSujet: Re: Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Ce sont souvent les personnes les plus tristes qui ont les plus beaux sourires. Ҩ DEREK Icon_minitime

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